Le blog de rencontredu59
Barbara, que son serviteur appelait maîtresse Chambon, arborait certes un air sévère lorsque son époux était dans les parages mais elle reprenait vite son authenticité lorsque ce dernier quittait leur somptueuse demeure pour voyages d'affaires, voyages d'adultère (elle en était certaine), soirées mondaines, parties de golf et ainsi de suite. À 23 ans, Barbara était toujours très belle. C'était une toute petite femme d'à peine 1m70, elle coiffait ses cheveux roux de manière austère et son beau visage angélique était toujours parfaitement maquillé. Elle avait une garde-robe assez impressionnante et sévère avec un double-fond construit par Jean, son serviteur adoré, et rempli de vêtements et d'objets de débauche. Elle avait jadis fait un pacte avec son serviteur : il pouvait se la faire, n'importe où et n'importe comment, à la seule condition qu'il amène ce secret dans sa tombe. Son mari ne devait jamais savoir qu'elle n'était pas ce qu'il espérait et croyait qu'elle était. En ce 24 septembre, son époux devait déjà être à Boston pour assister à une conférence financière. Maîtresse Chambon jouissait au maximum de ces périodes de solitude en faisant tout ce que son mari lui interdisait de faire lorsqu'il était à ses côtés. Elle ordonna à son serviteur d'éplucher des légumes pour le dîner tandis qu'elle se changeait de vêtements pour être plus à l'aise. Lorsqu'elle arriva dans la cuisine, seulement vêtue d'un collier de cuir, elle vit le cuisiner de dos s'attaquant à une pomme de terre. Elle la lui ôta des mains et prit un gros concombre avant de le lui passer. - Épluche celui-là plutôt. Le serviteur eut un sourire timide et entreprit de débarrasser le légume longiligne de sa pelure rude. Sans elle, le concombre était tout lisse, juteux, et cela donna faim à Barbara. Sans l'enlever des mains du Black, elle le porta à sa bouche sensuellement. Elle le pompa tout en regardant son serviteur droit dans les yeux. Elle attrapa deux très longues et larges carottes et lui ordonna de les éplucher. Puis elle lui demanda de la suivre jusque dans la chambre à coucher des maîtres. Ils se positionnèrent en 69 et le Black pénétra le fion de sa maîtresse avec la carotte qu'il fit d'emblée aller et venir rapidement. Puis, il fit entrer le concombre dans sa chatte juteuse... De son côté, Barbara voyait le tige du Back enfler à vue d'œil. Elle le pompait avec plaisir, jamais son mari n'aurait accepté qu'elle mette un pénis dans sa bouche, le sien encore moins. Il était de la vieille école, leur première nuit n'avait été que de la frime. Elle ne suçait pas assez de queue à son goût, son mari étant souvent à la maison ces temps-ci, de plus, ce qui lui était interdit l'allumait un max. Elle prit donc un immense plaisir à sucer cette belle queue légèrement courbée vers la gauche avec un gland démesuré et des couilles tout aussi imposantes. Elle tenait la deuxième carotte à la main et elle en suçait le bout en alternance avec la tige de chair noire. Elle enduisit ensuite de salive la carotte au point de la rendre luisante. Barbara introduisit le légume orangé dans le cul du Black tandis que ce dernier la tronchait littéralement avec les deux légumes. Le cul de ce dernier était merveilleusement dilaté et il poussa un gémissement adorable lorsqu'elle fit aller et venir le légume entre ses belles fesses épilées. Quand il sortait la carotte de son cul, par exemple, il replongeait le concombre dans sa chatte aussitôt. Maîtresse Chambon avait sa grosse tige dans la bouche, et cette dernière butait brutalement au fond de sa gorge. -Vous voulez que j'échange le rôle des légumes, maîtresse Chambon ? Cette dernière ne pouvait pas parler (on ne parle pas la bouche pleine quand on est l'épouse de Robert Chambon) mais elle bougea sensuellement du bassin pour lui donner son feu vert. Il commença donc l'introduction partielle du concombre dans le fion déjà bien relax de sa maîtresse. Le Black lui torpillait la bouche au moins aussi vigoureusement que l'anus. Sa maîtresse, les cheveux ébouriffés et le maquillage coulant, dut avaler les jets de foutre au fur et à mesure qu'ils se présentaient ! C'est à cet instant précis que le Black donna le coup de grâce en envoyant valser la carotte introduite dans son derrière à l'autre bout de la pièce. Il ordonna tout à coup à sa maîtresse de se mettre à quatre pattes sur le lit, ce qu'elle fit immédiatement. Il prit la carotte qu'elle avait au cul quelques minutes plus tôt et lui remit exactement en place. Il banda à nouveau lorsqu'il présenta le concombre à la bouche gémissante de sa maîtresse cochonne : - Suce celui-là, belle salope, lui ordonna-t-il sur un ton sans équivoque. Il lui tapait les fesses et la tirait par les cheveux pour qu'elle cabre davantage la croupe, la chevauchant comme un dément. Ses coups de reins impétueux eurent raison de Barbara qui cria bientôt comme si elle était en train de se faire assassiner violemment. Le Black ne diminua pas la cadence pour autant mais il cracha sur sa tige pour lubrifier la chose davantage. Les gémissements se firent plus doux, moins sonores... - Fais-moi jouir du cul, espèce de porc, tu aimes ça enculer ta maîtresse, salaud... Elle adorait provoquer ce mâle, il devenait carrément brutal quand elle l'insultait. Et elle, elle devenait plus vulgaire que jamais lorsque ce dernier la traitait de tous les noms possibles. - Continue de me traiter comme une chiennasse, connard... Le Black avait envahi tous ses trous et s'apprêtait à gicler à nouveau dans son cul docile. Pour la faire jouir le plus intensément possible, il savait qu'il lui fallait évoquer Robert. Il lui dit donc, sur le ton d'un parfait connard, en ne cessant pas pour autant de la sodomiser : - Qu'est-ce que ton loyal époux penserait d'une pouf comme toi, il regretterait de t'avoir mariée, il n'oserait plus te regarder parce que tu n'es qu'un parking à bites, tu ne sais que te foutre à quatre pattes, pomper et te faire enculer, tu ne penses donc à rien d'autre, pétasse ???!!! - Continue, n'arrêtes pas, je vais jouir !!! Le bruit que faisait le cul trempé de sa maîtresse à chacun de ses coups de reins le rendit fou de rage. Il augmenta encore le rythme et la défonça jusqu'à l'orgasme. Il retira le concombre, qui était resté là depuis tout ce temps et qui était devenu chaud à force d'avoir séjourné dans cet antre brûlant, et il la sodomisa tout en la branlant du clito jusqu'à ce qu'elle jouisse. Lorsque cela arriva, le concombre fut littéralement expulser de son cul mais la carotte put continuer ses entrée et ses sorties répétées dans sa fente ravagée... Toute la journée, ils baisèrent comme des dingues. Tantôt, Barbara s'amusait à soumettre son serviteur mais la plupart du temps, elle lui laissait carte blanche sur son corps. Il lui fit ce qu'il aimait le plus, l'exhiber sur une webcam dans ses propres quartiers pour que ses potes puissent en profiter via le web. Maîtresse Chambon se prêta à toutes le humiliations et elle obéit à tous les ordres des lascars. À la tombée de la nuit, elle quitta son amant pour passer le week-end chez une copine, craignant que son mari ne revienne plus tôt que prévu, ce qui arrivait assez souvent. Pour sa part, le serviteur prit une douche et enfila son tablier parce qu'il n'avait rien fait de tout le boulot qu'il aurait normalement dû accomplir beaucoup plus tôt. Mais avant qu'il n'entreprenne de préparer un petit en-cas pour Robert, dont il savait que l'arrivée n'allait pas tarder, il entendit la porte d'entrée s'ouvrir et des pas se diriger directement vers la cuisine. - Où est ma salope de femme ? Le Black arrêta ce qu'il venait tout juste de commencer et se retourna vers son maître, fort souriant : - Chez l'une de ses dévergondées de copines gouines, vous savez avec qui elle s'envoie en l'air tous les mois ?? Robert fit mine de réfléchir puis il haussa les épaules avant d'ajouter, feignant la déception... -Ah oui, cette Lara, une dame étonnante lorsqu'on y pense... Puis il arrêta son regard sur les fesses du Black, remarquant tout à coup qu'il n'avait rien mis sous son tablier... Il détacha sa ceinture en s'approchant du Black et lui ordonna, gentiment, d'une voix toute mielleuse : - Vous êtes donc libre d'ôter ce tablier ??!! Le Black acquiesça et enleva la seule pièce de tissu qui cachait ses imposants bijoux de famille. Robert tendit la ceinture de cuir - Aujourd'hui, tu me frappes avec le bout métallique, j'ai eu une mauvaise journée... Robert s'agenouilla et se laissa taper le visage doucement par la queue molle du Black. Celle-ci gonfla rapidement et Robert, maintenant à quatre pattes, se la prit en plein derrière. Il se prit également quantité de claques au cul, de coups de ceinture et d'insultes fort cruelles évoquant l'horreur que sa femme ressentirait si jamais elle le voyait ainsi soumis...