Jeudi 4 août 4 04 /08 /Août 21:23

DÉBAUCHE SECRÈTE Rencontre gratuite

Barbara, que son serviteur appelait maîtresse Chambon, arborait certes un air sévère lorsque son époux était dans les parages mais elle reprenait vite son authenticité lorsque ce dernier quittait leur somptueuse demeure pour voyages d'affaires, voyages d'adultère (elle en était certaine), soirées mondaines, parties de golf et ainsi de suite. À 23 ans, Barbara était toujours très belle. C'était une toute petite femme d'à peine 1m70, elle coiffait ses cheveux roux de manière austère et son beau visage angélique était toujours parfaitement maquillé. Elle avait une garde-robe assez impressionnante et sévère avec un double-fond construit par Jean, son serviteur adoré, et rempli de vêtements et d'objets de débauche. Elle avait jadis fait un pacte avec son serviteur : il pouvait se la faire, n'importe où et n'importe comment, à la seule condition qu'il amène ce secret dans sa tombe. Son mari ne devait jamais savoir qu'elle n'était pas ce qu'il espérait et croyait qu'elle était. En ce 24 septembre, son époux devait déjà être à Boston pour assister à une conférence financière. Maîtresse Chambon jouissait au maximum de ces périodes de solitude en faisant tout ce que son mari lui interdisait de faire lorsqu'il était à ses côtés. Elle ordonna à son serviteur d'éplucher des légumes pour le dîner tandis qu'elle se changeait de vêtements pour être plus à l'aise. Lorsqu'elle arriva dans la cuisine, seulement vêtue d'un collier de cuir, elle vit le cuisiner de dos s'attaquant à une pomme de terre. Elle la lui ôta des mains et prit un gros concombre avant de le lui passer. - Épluche celui-là plutôt. Le serviteur eut un sourire timide et entreprit de débarrasser le légume longiligne de sa pelure rude. Sans elle, le concombre était tout lisse, juteux, et cela donna faim à Barbara. Sans l'enlever des mains du Black, elle le porta à sa bouche sensuellement. Elle le pompa tout en regardant son serviteur droit dans les yeux. Elle attrapa deux très longues et larges carottes et lui ordonna de les éplucher. Puis elle lui demanda de la suivre jusque dans la chambre à coucher des maîtres. Ils se positionnèrent en 69 et le Black pénétra le fion de sa maîtresse avec la carotte qu'il fit d'emblée aller et venir rapidement. Puis, il fit entrer le concombre dans sa chatte juteuse... De son côté, Barbara voyait le tige du Back enfler à vue d'œil. Elle le pompait avec plaisir, jamais son mari n'aurait accepté qu'elle mette un pénis dans sa bouche, le sien encore moins. Il était de la vieille école, leur première nuit n'avait été que de la frime. Elle ne suçait pas assez de queue à son goût, son mari étant souvent à la maison ces temps-ci, de plus, ce qui lui était interdit l'allumait un max. Elle prit donc un immense plaisir à sucer cette belle queue légèrement courbée vers la gauche avec un gland démesuré et des couilles tout aussi imposantes. Elle tenait la deuxième carotte à la main et elle en suçait le bout en alternance avec la tige de chair noire. Elle enduisit ensuite de salive la carotte au point de la rendre luisante. Barbara introduisit le légume orangé dans le cul du Black tandis que ce dernier la tronchait littéralement avec les deux légumes. Le cul de ce dernier était merveilleusement dilaté et il poussa un gémissement adorable lorsqu'elle fit aller et venir le légume entre ses belles fesses épilées. Quand il sortait la carotte de son cul, par exemple, il replongeait le concombre dans sa chatte aussitôt. Maîtresse Chambon avait sa grosse tige dans la bouche, et cette dernière butait brutalement au fond de sa gorge. -Vous voulez que j'échange le rôle des légumes, maîtresse Chambon ? Cette dernière ne pouvait pas parler (on ne parle pas la bouche pleine quand on est l'épouse de Robert Chambon) mais elle bougea sensuellement du bassin pour lui donner son feu vert. Il commença donc l'introduction partielle du concombre dans le fion déjà bien relax de sa maîtresse. Le Black lui torpillait la bouche au moins aussi vigoureusement que l'anus. Sa maîtresse, les cheveux ébouriffés et le maquillage coulant, dut avaler les jets de foutre au fur et à mesure qu'ils se présentaient ! C'est à cet instant précis que le Black donna le coup de grâce en envoyant valser la carotte introduite dans son derrière à l'autre bout de la pièce. Il ordonna tout à coup à sa maîtresse de se mettre à quatre pattes sur le lit, ce qu'elle fit immédiatement. Il prit la carotte qu'elle avait au cul quelques minutes plus tôt et lui remit exactement en place. Il banda à nouveau lorsqu'il présenta le concombre à la bouche gémissante de sa maîtresse cochonne : - Suce celui-là, belle salope, lui ordonna-t-il sur un ton sans équivoque. Il lui tapait les fesses et la tirait par les cheveux pour qu'elle cabre davantage la croupe, la chevauchant comme un dément. Ses coups de reins impétueux eurent raison de Barbara qui cria bientôt comme si elle était en train de se faire assassiner violemment. Le Black ne diminua pas la cadence pour autant mais il cracha sur sa tige pour lubrifier la chose davantage. Les gémissements se firent plus doux, moins sonores... - Fais-moi jouir du cul, espèce de porc, tu aimes ça enculer ta maîtresse, salaud... Elle adorait provoquer ce mâle, il devenait carrément brutal quand elle l'insultait. Et elle, elle devenait plus vulgaire que jamais lorsque ce dernier la traitait de tous les noms possibles. - Continue de me traiter comme une chiennasse, connard... Le Black avait envahi tous ses trous et s'apprêtait à gicler à nouveau dans son cul docile. Pour la faire jouir le plus intensément possible, il savait qu'il lui fallait évoquer Robert. Il lui dit donc, sur le ton d'un parfait connard, en ne cessant pas pour autant de la sodomiser : - Qu'est-ce que ton loyal époux penserait d'une pouf comme toi, il regretterait de t'avoir mariée, il n'oserait plus te regarder parce que tu n'es qu'un parking à bites, tu ne sais que te foutre à quatre pattes, pomper et te faire enculer, tu ne penses donc à rien d'autre, pétasse ???!!! - Continue, n'arrêtes pas, je vais jouir !!! Le bruit que faisait le cul trempé de sa maîtresse à chacun de ses coups de reins le rendit fou de rage. Il augmenta encore le rythme et la défonça jusqu'à l'orgasme. Il retira le concombre, qui était resté là depuis tout ce temps et qui était devenu chaud à force d'avoir séjourné dans cet antre brûlant, et il la sodomisa tout en la branlant du clito jusqu'à ce qu'elle jouisse. Lorsque cela arriva, le concombre fut littéralement expulser de son cul mais la carotte put continuer ses entrée et ses sorties répétées dans sa fente ravagée... Toute la journée, ils baisèrent comme des dingues. Tantôt, Barbara s'amusait à soumettre son serviteur mais la plupart du temps, elle lui laissait carte blanche sur son corps. Il lui fit ce qu'il aimait le plus, l'exhiber sur une webcam dans ses propres quartiers pour que ses potes puissent en profiter via le web. Maîtresse Chambon se prêta à toutes le humiliations et elle obéit à tous les ordres des lascars. À la tombée de la nuit, elle quitta son amant pour passer le week-end chez une copine, craignant que son mari ne revienne plus tôt que prévu, ce qui arrivait assez souvent. Pour sa part, le serviteur prit une douche et enfila son tablier parce qu'il n'avait rien fait de tout le boulot qu'il aurait normalement dû accomplir beaucoup plus tôt. Mais avant qu'il n'entreprenne de préparer un petit en-cas pour Robert, dont il savait que l'arrivée n'allait pas tarder, il entendit la porte d'entrée s'ouvrir et des pas se diriger directement vers la cuisine. - Où est ma salope de femme ? Le Black arrêta ce qu'il venait tout juste de commencer et se retourna vers son maître, fort souriant : - Chez l'une de ses dévergondées de copines gouines, vous savez avec qui elle s'envoie en l'air tous les mois ?? Robert fit mine de réfléchir puis il haussa les épaules avant d'ajouter, feignant la déception... -Ah oui, cette Lara, une dame étonnante lorsqu'on y pense... Puis il arrêta son regard sur les fesses du Black, remarquant tout à coup qu'il n'avait rien mis sous son tablier... Il détacha sa ceinture en s'approchant du Black et lui ordonna, gentiment, d'une voix toute mielleuse : - Vous êtes donc libre d'ôter ce tablier ??!! Le Black acquiesça et enleva la seule pièce de tissu qui cachait ses imposants bijoux de famille. Robert tendit la ceinture de cuir - Aujourd'hui, tu me frappes avec le bout métallique, j'ai eu une mauvaise journée... Robert s'agenouilla et se laissa taper le visage doucement par la queue molle du Black. Celle-ci gonfla rapidement et Robert, maintenant à quatre pattes, se la prit en plein derrière. Il se prit également quantité de claques au cul, de coups de ceinture et d'insultes fort cruelles évoquant l'horreur que sa femme ressentirait si jamais elle le voyait ainsi soumis...

Par rencontredu59 - Publié dans : rencontre sexy
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Jeudi 4 août 4 04 /08 /Août 21:10

Il y avait un mec à la fac que toutes les filles rebutaient. Max était un type un peu maigrichon, sans grand charme mais d'une remarquable intelligence. J'aimais à l'accompagner sur les berges du lac situé en plein cœur de notre petit village du nord de la France pour réviser mes cours. En ce bel après-midi de septembre où le soleil était encore chaud, une légère brise venait nous rafraîchir en balayant sporadiquement nos visages bronzés. Dans le cadre d'un travail d'équipe en sciences pures, nous rédigions un essai sur les chaînes de Markov. Max était adossé à un arbre, en face de moi, et n'avait pour vêtement qu'un short. Le hâle estival de sa peau et le fait qu'il avait changé ses lunettes pour des verres de contact l'embellissait davantage. Ses yeux verts me fixaient depuis un bon moment et bizarrement, son regard insistant ne me laissa pas indifférente ce jour-là. Je lui rendis son sourire lorsqu'il toucha le bout de mes orteils avec ses pieds. Je continuai tout de même à écrire car j'avais hâte de terminer ce travail de longue haleine et sur lequel nous planchions depuis plus d'une semaine. Son pied continua son chemin sur mon mollet, qu'il ne fit qu'effleurer, puis sur mes jambes. Lorsque je sentis son pied s'insinuer entre mes cuisses, une onde de chaleur douloureuse parcourut mon corps. Mon pubis et mes reins me chatouillaient, chacun des mouvements de ses pieds sur ma peau rendait cette douleur aigre-douce plus vive encore. Sans être désagréables, les sensations que je ressentais dans le bas de mon corps s'amplifiaient à un point où il me devint insupportable d'être touchée. Je pliai les jambes et les ramenai l'une sous l'autre. Je ne levai pas les yeux mais je sentais toujours aussi intensément son regard sur moi, un regard qui m'enflammait le corps et qui me brouillait l'esprit. Allais-je faire le saut maintenant, en pleine nature, avec le binoclard de la fac ? Je n'en étais pas si sûre, malgré l'excitation qui m'avait gagnée... - Que dirais-tu de faire une petite sieste, Karine, me demanda-t-il tout à coup. Je n'en peux plus de tous ces livres, prenons un bain de soleil et ensuite un bain frais dans le lac !!! Son enthousiasme me gagna rapidement, je déposai mon cahier sur le gazon et m'étendit sur l'herbe à ses côtés. Le sommeil me gagna rapidement, je me laissai bercer par la relaxation que cet environnement créait dans mon esprit, c'était un petit paradis où effluves musquées et sons apaisants s'amalgamaient. Mon exténuation en cette période de fin d'année était telle que je ne m'éveillai qu'au coucher du soleil, mon estomac gargouillant atrocement. Je m'étais même retournée face à Max pendant mon sommeil et ce dernier avait fait de même. Je l'observai un instant mais il ouvrit les yeux presque aussitôt, plongeant son regard dans le mien avec toute l'intensité de cette couleur profonde. Nos bouches s'entrouvrirent au même moment et entrèrent en contact tout doucement. Le chatouillement insupportable reprit mais, cette fois, dans mes lèvres. Chaque fois qu'il effleurait mes lèvres des siennes, l'éclair mi-douloureux mi-agréable reprenait de plus belle. Max prit alors ma main et la dirigea sur son entrejambe où se déployait une bosse très grosse et rigide. Il manipula fébrilement la fermeture-éclair de son pantalon en m'embrassant plus langoureusement qu'au départ. Une excitation plus intense que les antérieures me gagna lorsque je sentis entre mes doigts ce morceau de chair rigidifié par le désir. Je le serrai très fort, au niveau de la tête, ce qui valut à mon ami un grognement de contentement. Puis, il m'agrippa la main une seconde fois et la fit bouger de haut en bas. Ses grognements s'intensifièrent, sa tige devint plus dure encore et sa respiration s'accéléra... Il dirigea ma main, qu'il tenait fermement, vers la base touffue de sa tige et de ses douces testicules. Je les fis bouger entre mes doigts, et cette fois, c'est ma respiration qui devint haletante. C'était la première fois que j'allais aussi loin dans l'anatomie masculine, en fait c'était la première fois qu'un garçon ne me sautais pas dessus une minute après l'échange de salive initial, pour me baiser sans même me faire découvrir ses parties intimes. Si les hommes ont généralement la réputation d'omettre les préliminaires, les jeunes hommes, eux, ne semblent même pas connaître leur existence. La sensation qu'il ressentait, je pouvais également la ressentir. Je prenais un réel plaisir à le masturber d'une main et à caresser ses burnes de l'autre. Il était si obnubilé par la course de mes doigts sur son membre qu'il ne pensait pas à me caresser, à part avec sa bouche bien sûr. Il écarta légèrement les cuisses et baissa son pantalon jusqu'à ses chevilles. Je décidai de prendre les devants, je le chevauchai et j'enlevai t-shirt et soutif en un seul geste. Lorsqu'il aperçut mes seins et que je me penchai pour l'embrasser, il éjacula entre mes cuisses... Je restai pétrifiée un instant, mais je me repris de peur de le blesser. - C'était ta première fois, n'est-ce pas, ne pus-je m'empêcher de lui demander. - En effet, j'ai tout fait pour que tu ne le remarques pas, dit-il en rougissant et détournant légèrement les yeux. Je posai ma main sur sa main et cherchai son regard jusqu'à ce que ses deux émeraudes fascinantes me fixent. Sa réponse m'avait attendrie au plus haut point. - Ce n'était pas un reproche, de tous les gars avec qui j'ai baisé et qui juraient l'avoir déjà fait plusieurs fois, tu es le seul à avoir pris ton temps, et même, à t'être préoccupé de mon plaisir, lui lançai-je à la dérobée... C'aurait pu être mieux mais c'est louable de ta part... Habituellement, les mecs deviennent des bêtes sauvages sous l'effet de leurs hormones, ajoutai-je en éclatant de rire. - Ah bon, je croyais aussi, un peu secrètement, que tu en étais également à ta première fois. J'ai dû te guider un peu, on aurait dit que tu n'avais pas touché un pénis de ta vie, me répondit-il en éclatant de rire à son tour. Je redevins sérieuse et, pour ma défense, je m'exclamai : - C'est que les mecs avec qui j'ai baisé me prenaient toujours par derrière alors qu'on étudiait, à l'école, chez moi et même dans les toilettes des restos. Je suis même devenue lesbienne pendant un certain temps tant les hommes me dégoûtaient... Je refusais tout contact charnel avec les mecs... Mais chassez le naturel... - Et il revient au galop, me coupa-t-il, l'air coquin. Je gloussai un peu en rougissant... Je me levai et l'entraînai dans l'eau avec moi, après avoir ôté nos derniers vêtements. Nous glissâmes nos corps encore chauds et endormis dans l'eau fraîche du lac et naturellement, nous nous rapprochâmes l'un de l'autre pour nous réchauffer. Pour une fois, il prit mes pointes dures entre ses doigts et les fit rouler. Malgré la froideur de l'eau, son membre continuait de grossir contre mon ventre. Je lui pinçai une fesse avant de m'éloigner en nageant sur le dos. Il suivait des yeux mes deux gros ballons blancs et tentait de m'attraper lorsque je passais près de lui. - Ça c'était avant de te connaître... Le gros fantasme des jeunes hommes de notre génération, c'est de prendre les jeunes femmes entre deux cours en ne levant que leur jupe et dans la seule optique de leur gicler sur les fesses. Jamais il n'est question de notre plaisir, c'est out de nos jours de s'occuper des besoins sexuels des femmes. Ah et ils adorent presque tous la sodomie et les choses crades comme gicler sur les vêtements, dans la bouche et dans l'anus... Alors que moi, je ne suis pas pressée de me faire éclater la rondelle et je déteste aller en classe avec des taches de sperme sur la jupe. Il réussit enfin à m'attraper et à me maintenir près de lui. J'appuyai mon front contre le sien, soupirai d'aise et l'embrassai sur la bouche. - Toi par contre, pour être excité, il ne te faut que moi, ajoutai-je finalement en lui souriant. Eux, il leur faut toute sorte de support ; violence, déviance, et j'en passe... Max écoutait religieusement ce compte-rendu de la génération masculine moderne. Il semblait fasciné par mon expertise dans le domaine et un peu flatté de ne pas faire partie de cette catégorie d'enfoirés machos et égocentriques... - J'ai arrêté de fréquenter ce genre de garçons et perso, je n'avais pas l'intention de baiser avec toi avant cet après-midi... Rien à voir avec ce que tu m'as offert, c'était merveilleux... Même si c'était ta première fois, ça n'a presque pas paru et sois assuré que je recommencerais tout de suite si ce n'était que de moi, lui dis-je en l'entraînant hors de l'eau vers la couverture qui reposait sur le sol. À ces paroles, je vis ses deux prunelles s'éclairer d'un feu ardent et en moins de temps qu'il ne m'en faut pour le dire, je me retrouvai sous lui. Il prit tout son temps pour m'embrasser, il couvrit mon visage de baisers fougueux... Je me laissai bercer par la danse de ses mains sur mes seins et entre mes cuisses. Il me masturba de la paume des doigts jusqu'à ce que ma moule soit dégoulinante. Il s'agenouilla ensuite entre mes cuisses et me pénétra d'un seul coup. Il expira bruyamment et longuement lorsqu'il toucha le fond mais sa main se mit aussitôt à caresser à nouveau ma craquette. Il ferma les yeux et entreprit de me baiser à un rythme lent mais soutenu tout en me faisant chanter l'abricot. Lorsqu'il ouvrait les yeux pour contempler mes seins, je sentais qu'il allait éjaculer. Mais Max refermait les yeux aussitôt et se concentrait sur le rythme de nos corps. Je pouvais me laisser aller à l'orgasme en toute quiétude, ce puceau assurait ! Je le sommai de continuer, d'augmenter légèrement le rythme... Les premières contractions de mon vagin pendant l'orgasme qui suivit détruisirent toute sa détermination. Il se retira, je le pris en main et le branlai mais sa tige était essorée au maximum. Il ouvrit la bouche et porta sa main à cette dernière, confus... Il toisa mon regard anxieusement et y vit les délices de la félicité y miroitant encore. Il eut un sourire et s'effondra sur moi pour me caresser les seins... C'est donc ainsi que Max et moi sommes tombés amoureux l'un de l'autre...

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